Afin de pouvoir conduire un véhicule en toute sécurité, il est important d’avoir des connaissances sur le « traffic de la route ». Piétons, cyclistes, automobilistes ainsi que les passagers des transports publics sont tous des utilisateurs de la route.
En effet, les règlements du code de la route ne concernent pas seulement les conducteurs des véhicules motorisés. Quiconque voudrait arpenter chaque jour les routes doit avoir une notion de ces codes. Il est crucial de bien comprendre tous les détails sur les diverses parties qui constituent le traffic routier. Cet article vous permet de mieux comprendre le traffic de la route.
Traffic routier : un aperçu sur le « Code de la route »
Le code de la route peut se définir comme un ensemble de règles et de lois régissant sur la circulation des véhicules à moteur sur les routes. Mais, ces règlements ne concernent pas seulement les véhicules. En effet, ils sont également destinés à tous les usagers des autoroutes, des trottoirs, de la chaussée et des voies publiques. Le code est également un ensemble de règles de conduite ainsi que de principes de sécurité. Une personne peut conduire lorsqu’elle maîtrise parfaitement ce code.
Comprendre les types et parties qui composent une route
Une route est une voie terrestre bâtie pour la circulation, quel que soit le type de locomotion et d’utilisation routier. En effet, cette voie est constituée d’une combinaison complexe de différents éléments, et désigne l’ensemble de l’espace destiné au traffic de la route. Mais, quelles sont ces différentes voies de circulations ? A titre d’exemple, dans le domaine routier français, il existe plusieurs types de routes possédant des fonctions et des règles différentes. Donc, voici une brève liste des types de routes :
- Les autoroutes
- Les routes communales
- Les routes à accès réglementé
- Les routes départementales
- Les routes européennes
- Les routes nationales
Conduite de nuit ou par mauvais temps
Le risque d’accidents augmente considérablement avec l’obscurité ainsi que dans des mauvaises conditions météorologiques. De ce fait, vous devez être apte à conduire et à circuler dans toutes les conditions. La bonne pratique du code de la route et des règles de conduite entre en jeu. Pour ce faire, utilisez vos phares lorsque la lumière naturelle n’est pas optimale et que la visibilité est affectée. Cela peut comprendre une conduite tôt le matin, sous les nuages ou par un mauvais temps.
De plus, lorsque vous êtes seuls dans l’obscurité, vous devez utiliser vos feux de route au bon moment. Ces dispositifs vous permettent d’éclairer la route devant votre véhicule le plus loin possible. Pourtant, n’allumez pas les feux de route lorsque d’autres véhicules se dirigent vers vous depuis l’autre direction. Ils peuvent vous aveugler. Pendant votre test de conduite, l’examinateur peut en fait vous poser des questions sur le sujet de la conduite de nuit. Dans la plupart des cas, faites toujours attention et agissez en conséquence. Si vous ne vous sentez pas en sécurité, ralentissez ou quittez la route jusqu’à ce que les conditions s’améliorent.
Les zones de potentiel danger
Certains conducteurs peuvent être amenés à franchir des zones de danger. Pour cela, une bonne compréhension des panneaux de signalisation du code de la route est un élément essentiel de la conduite. C’est très important si vous avez récemment obtenu votre permis. En effet, vous n’aurez pas d’expérience directe de chaque type de tracé routier.
Donc, maîtrisez tous les signaux montrant les parties dangereuses d’une route : chantiers routiers, tunnels, passages à niveau ou des voies de tramways. Vous trouverez des signalisations routières ainsi que des marquages au sol dans certaines zones de potentiel danger. Il s’agit également de signaux qui permettent de conduire à une vitesse normale pour éviter un risque pour les autres usagers.